segunda-feira, 17 de outubro de 2016

Literatura. 17.10.16


10 questões. 1 grupo para cada questão. Como vai ser a dinâmica do trabalho. Igual foi do estudo dirigido dos conceitos de literatura. Dividir a sala em 10 grupos, meia hora para cada gurpo pensar na questão, na resposta, depois grupão, cada grupo vai respondendo, impotante ir até a 4 e 5. As questões mais importante do texto tão mais para frente.
Trabalhocorrigido.
A mimesis foi o termo mais usual desde a poética de aristotles.
O demônio da teoria mimeses e literatura.
8) Segundo Compagnon, para recusar a relação entre a literatura e o mundo, os teóricos modernos utilizam “uma concepção algo limitada, ou caduca, da referência”. Explique a crítica que o autor faz a essa concepção e ao seu uso pela teoria literária moderna.
- Qu'est-ce que la réalité littéraire ? En d'autres termes : la littérature traite-t-elle du monde, de la réalité qui nous entoure, et à quel degré ? Depuis la Poétique d'Aristote, la mimèsis(imitation, représentation) est le terme qui rend compte du rapport entre littérature et réalité. Seulement, « la mimèsis a été remise en cause par la théorie littéraire, qui a insisté sur l'autonomie de la littérature par rapport à la réalité, au référent, au monde, et soutenu la thèse du primat de la forme sur le fond, de l'expression sur le contenu, du signifiant sur le signifié, de la signification sur la représentation, ou encore de la sèmiosis sur la mimèsis. » (p.111) Ainsi, la référence serait elle aussi une illusion (on parle donc d'illusion référentielle). Selon la théorie, la littérature ne nous parle pas du réel, elle ne peut pas le faire, malgré tous les apparats réalistes dont elle s'orne parfois. Une longue description dans Balzac ne nous parle pas du monde, elle ne représente rien, elle ne fait que parler de littérature, ne renvoie à rien d'autre qu'à elle-même (auto-référentialité) et à un acte de langage. C'est le point de vue que défend, par exemple, Barthes. Et si le texte se réfère à autre chose que lui-même, ce n'est qu'à d'autres textes (notion d'intertextualité, comme substitut de la référence au monde). La théorie s'oppose donc à la « tradition aristotélicienne, humaniste, classique, réaliste, naturaliste et même marxiste », pour qui le but de la littérature est de représenter la réalité le plus fidèlement possible, dans la mesure de ses possibilités. Cette dernière précision, « dans la mesure de ses possibilités », est importante, puisqu'elle offre à Compagnon l'angle d'attaque argumentatif qui lui permet de contester Barthes : pour ce dernier, si la littérature ne permet pas complètement de représenter la réalité, alors la référence est une illusion totale. C'est cette radicalité que Compagnon met en cause dans le chapitre : « Le triomphe facile de la théorie littéraire sur la mimèsis dépendait d'une conception de la référence linguistique simpliste et outrée : l'hallucination ou rien. » (p.156, l'hallucination est un terme utilisé par Barthes pour désigner la référence au réel.)
Le monde. Contre l'idée que la littérature fait référence au monde (cf. la mimèsis chez Aristote), la théorie littéraire défendit la thèse de son autonomie par rapport à la réalité. La littérature n'était plus censée représenter quoi que ce soit, elle ne parlait plus que d'elle-même, elle était devenue auto-référentielle : il n'y avait pas à chercher les modèles de la duchesse de Guermantes chez Proust. Aussi ne lisait-on pas pour découvrir la réalité des choses, mais pour les références de la littérature à elle-même. Cette conception s'inspira de la thèse de Saussure, qui stipulait que la signification des signes linguistiques était différentielle (résultait de leurs relations réciproques) et non référentielle (les signes ne font pas référence aux choses). Appliqué à la littérature, cela rendit accessoire toute référence à la réalité, toute sémantique, au profit de la syntaxe et des structures narratives. On étudia alors comment ce qui paraissait faire référence à la réalité n'était en fait régi que par des codes littéraires, n'était que des « effets de réel », qui donnaient l'illusion d'avoir accès à la réalité. Par exemple, selon la théorie littéraire, un détail (souvent un objet) mentionné dans une description mais inutile pour le récit, était un signe conventionnel et arbitraire pour indiquer au lecteur qu'il avait affaire à une description réaliste : non pas que le détail (l'objet décrit) dénotait un objet réel, mais il connotait le réalisme, « l'effet de réel ». La dénonciation de toutes les oppressions étant alors dans l'air du temps, la théorie littéraire affirma même que cette connotation était porteuse d'une idéologie bourgeoise et répressive.
       Antoine Compagnon veut bien concéder à la théorie littéraire qu'un signifiant ne donne pas accès directement, de façon transparente, au référent, qu'un roman ne parle pas la réalité telle qu'elle est. Ce n'est pas pour autant, affirme-t-il, que le langage n'est pas référentiel, ou que la littérature ne parle jamais du monde. Et en effet, comment la théorie littéraire peut-elle en même temps nier que le langage ait une relation référentielle à la réalité et se servir de ce langage pour statuer sur ses propriétés réelles ? Pour cela, il faudrait qu'elle reconnaisse qu'avec le langage il est possible de se référer à quelque chose qui existe réellement, comme justement le langage ou la littérature. Le paradoxe est donc que la théorie littéraire utilise la fonction référentielle du langage pour nier son existence !
       L'erreur de la théorie littéraire est d'avoir glissé de la thèse de l'arbitraire du signe à la thèse de l'arbitraire du langage. Elle en a conclu que toute langue était un système indépendant du réel, qui découpait ce dernier de façon arbitraire par sa structure et ses mots, et qui constituait ainsi une vision du monde dans laquelle les locuteurs restaient prisonniers. Or ce n'est pas, par exemple, parce que les langues ne décrivent pas toutes les couleurs de l'arc-en-ciel de la même façon qu'elles ne parlent pas du même arc-en-ciel. C'est d'ailleurs en utilisant le langage que l'on peut s'apercevoir que des locuteurs d'une autre langue décrivent le réel d'une autre manière.
Pour cela, il faut bien qu'il soit possible de s'entendre sur les objets décrits ; il faut bien que la langue parle de la réalité. Ce n'est donc pas parce que la littérature parle de littérature qu'elle ne parle pas aussi du monde.

Roteiro de leitura, recompondo o raciocínio, um pocuo mais de nuance do que deu para falar, a gente começa hoje e continua na aula que vem as perguntas, talvez mais abrangente, estão mais para o final, para que na aula que vem, aula que vem entrego trabalho valendo 10 pontos, na outra segunda, tem prova.
Qual objetivo do texto e de que forma ele se estrutura.
Lá no seminário, todo mundo tem de falar um pouquinho. De que forma ele se estrutra.
Objetivo do texto relacionar relação da literatura com mundo, teoria clássica, remetida a mimesi do aristoteles e uma teoria moderna, ele vai diante dessas duas, vai apresentar uma solução nem baseado na mimese e também nção deixa de fazer análise da mimese para rel~çao da literatura com mundo.
Apresenta duas teses e apresenta um solução. Poderia acrescenta, ele não só apresenta e critícia a tese moderna, teoria literária do século xx, não se preocupa de criticar da tese clássica, toda tese moderna a tese clássica já era, ele não se preocupa muito com a antiga, critica a tese moderna para depois apresentar uma solução.
Quando diz que vai apresentar, ele vai discutir que relação seria entre a literatura e o mundo vale a pena acentuar, literatura por ficção, assume literatura como ficcional, tese dele, funciona melhor, mirando os textos ficcionais que lemos este textos.
Depois da prova, dia 26, dá trabalho narrativas ficcinais.
E valeria para outros tipos de obras ficcionais, a canção popular, cinema, teatro, valeria também. De que maneira um filme ficcional se relaciona com realidade, uma peça de teatro se relaciona com realidade, ele diz relação entre literatura e realidade, relação entre ficção e realidade
Apresente duas teses, critica tese moderna e apresenta solução. Não temos duas teses em jogo, temos 3 teses em jogo.
A pergunta 2, pouco desenvolvido.
Tese antiga ques~tao idea função representar a realidade, não apresenta grande explicação dessa tese, ideia da literatutura como representação, representam a realidade,não desenvolve mto isos, historicidade desse ideia, predominou durante mto tempo, de aristotles 4 ac, ao herbah, século 20, apenas século 20, surge uma tese forte questionando essa idea da literatura como representação do mundo, da verdade, tese antiga literatura representa o mundo, uma maneira de ler aristoteles, então não dá para dizer que arisitotles adpeto da tese clássica, isso gente que acha quie sim e outros acha quen ão.
Tese clássica literatura representa realidade.
Questão 3. A tese moderna.
O autor refere-se tam´bme uma tese moderna, seugnod a qual a literatura não fala outra coisa senão literatura.
Referencia saussire autonomia da loingua em relação ao mundo, caracter arbitrário do signo, pensando o mais relevante na significação é relação entre singo, na~p relação signos e coisas. Faz discursão improtanica da representação, valroiza~ço da relção dos textos entre outros textos. Isso dá idea da literatura vai estar fazendo referencia outros textos, e não textos conversnado com mundo real, defesa expl´citic,a da forma do texto poético, de que a forma no texto poética que a relação texto comum, denotação.
Que ele vai fazer um defesa bem expl´citiva, Barthes, os teóricos modernos, entre eles o Barthes, não propriamente compangon, tese moderna literatura fala apenas da própria literatura. Enfatizou essa idea do arbitrário da língua, que tá no saussire, cunho estruturalista, língua é um sistema que funciona como jogo entre signos, leitura teóricos modernos língua jogo entre singnos, singifcação é resultado jogo entre singos e não relaço dos signos com mundo , a própria língua não fala do mundo, o processo de singifcação naõ tem rel~çao com mundo, é puro jgo com mundo, singifcado que temos com representação do mundo, é apenas cria~çao cultural que nos impõe uma visão do mundo. Um dos fundamentos das teses moderna. Arbitrário da língua, é tese sobre língua e não da literatura, teóricas da literautara, afirmaram que proprioa literatura não fala do mundo, se como a língua não fala do mundo ,mto menos a literatura.
Referenica de literatura não é o mundio, é os outros textos. Concepção que tenho do mundo, naõ olha para mundo pela mediação da sua cultura.
Mas então essa idea do arbitrário da língua, a tese moderna deriva daí, que a literuastura não fala do mundo e não representa raelidadde. Rela~~ao entre essa tese moderna e conceito literuasta formalismo russo e wellek warrne, idea o que caracteriza literatura é o que tá dento do próprio texto, relção imanente, tese que foco entre autonomia no próprio texto, ler texto com relação com prorpior texto e não relação com mundo, tese da autonomia da literatura.
Autonomização da literautara.
Esse num é único fundamento que arpesenta para tese moderna, linguística saussiriana, apresenta outros, idea do jakboson, texto literário função poética predomina sobre outras funções, função emotiva, conativa, referencial, poética, fática, metalinguística, o debate é sobre função referenica e função poética, literaturaa fala apenas de si mesmo, o que predomina é função poética, se fala do mundo oo que predomina é função referencial
Se eu afirmo a autonomia da literatura, predominacia função poética sobre função referencial.
Fala de outras teorização que serviram de base para teóricos modernos.
Teórica semiótica do pubs, interpretação limitada, interpretação, semiose limitada, produz signos sobre singos, e nunca sobre o mundo.
E idea, antropologia estrutural do levi-strauss, ele interpereta as esturturas de uma sociedade, índios, a paritor dos princípios da linguísticas, jogo os singinfciatiantes, estutura de parentesco.
Dá para entender racionicion do texto sem passara por isso.
Negação da relção do texto literátrio comnum e autonomia do texto literaitriao, ele não representa.
Na função poética é mais importante relação entre as formas e não com o mundo, a montagem da mensagem, jogo do signicantes, o peoma qunaod faz rima, o que interessa é rima, faz rpestar tenção nela e não o que tá dizendo.
Acrecenta mais uma coisa, fato de essas ideas teóricas, surigrmaa anos 60, formalismo russo, 20, 30, pipocam na proprioa literatura no século 20, literatura explicitamente não representatitiva, poesia francesa, rambauld, fazem poemas para não serem entendidos, rambuald, beaudelair, faz literatura para não ser entendida, para provocar estranahemnto, confuçsao na cabeça do leitor, teoria respondendo o que aconteceu antes na literatura.

Questão 4.
Na passagem da tese antiga a tese moderna, compreenasao termo mimes,e concpeçao se transformaram , explicque essa transformação.
Mimese para modernos que para antigos, os modernos da teoria da literatura representar algo mais estrutural do que tá sendo dtio do que como tá snedo dito, estruturação da mensagem poeitca, aristoteles não está mto preocupado com espetáculo, da maneira em si, mas como tá senod criasdo, ilusão.
Isso se contrapõe conceito de miemese dos antigos, sentido natural e sentido cultural. Sentido natural, simples representação da realidade, imita,
No sentido moderno,
O sentido de mimese mudou sentido dos antigos e modernos.
Sentido dos modernos ele se preocupam mais com a consutrção do artefato poético, se você vai ler a arte poética, ele dizendo texto inteiro, como autor da trageida tem de fazer e montar a tragégida, ele tá mais preocupado com artefato peotico do que com encenação.
Preocupado com texto, como tem de ser a armação da historia no texto. Funao da linguagem, preocupado com função poética. Com estruturaração da mensagem.
Contraporia leitura antiga de mimese, de imitação da realidade, representação da realidade.
Passameos da representaça oda realidade para consutrção do artefato poética.
São interpretaça de aritsoteles, na leitura dos antigos seriam imitação, se pegar tradução antiga da poética, vai tá imitação da realidade, e passou a ser a consutrçã odo artefato poética, as manhas de criar, estrutura a mensagem poética, deixou de ser calque da realidade para ..
Mudança da tradução, deixou de se traduzir em língua em portuguesa com imitação e passou para representação.
Aqui passagem de imitação para representação, essa passagem que enfatizar, que na criação da representação tem algo de criação, inveção, puro decalque.
Questão 2 da idea antiga da mimes,e como imitação, ideia da mismese como coisa passiva, como se fosse fotografia, impressão da realidade no texto, ideia de passividade na construção do texto poético, enquanto os modernos enfantizam a invenção, o que tem de diferente a realidade.
Tem aquela frase famosa poetia latina, que é a arte poética, carta, horacio, uctu pictura poesis, poesia como pintura, pensa como poesia deve ser como pintura, poesia deve copiar a realidade, ligada a idea antiga, descirção de alguma coisa que tá fora dela,
Descrição, imitação, relacionado a visão clássica.
To lendo a tese antiga idiea muito simplista, não vai passar muito disso aqui, como ele não aprofunda muito na ideia antiga, faz leitura rasa como simples imitação,
Sentido natural e sentido cutlural, tem haver com grego, eukose e doxa, eu não se gergo para entrar nesse debote, eujose é possível, o que a tragédia imita não é o que acontecue, mas o que poderia ter acontecido, quem imita o que aconteceu é historia, a poesia imita o que poderia acontecidio, objeto ficcional, possível, sentido nautral, decalque da realidade...
Fica mais complicada porque opõe objeto, simplifcinado, mimese é imitação, literatura imita realidade, tese moderna, representa~çao, ltierauta não imita raldiade.
Objeto da mimese é realidade e objeto da mimese no outro não é realidade. Sentido cultural da doxa, só dá para explicar quando cair na questão 7, quando fala do texto realista, que existe verssimilhanaç em rela~çao a doxa, oposição sentido natural e cultural, objeto da mimese é senitod natural da coisa, é realidade, eukose é poss´viel, mimemse imita oque ahcamos que é realidade,
Passou de imitação para representação, porque agente não acredita que literuata copia realidade.
Pintou mta literuautra que não faz ques~tao de imitar realidade
Antes exsitia literatura que imitava realidade, e agora não mais.
Questão 5.
Arte poertica, palavrinha cabulosa, que funciona como mimese, verossimlhnaça, relacina com conceito de verossimlhnaça.
Não representa a realidade, ela fala da própria literatura, e predomina função poética, que é chamar atenção para si memsa, verosimihlanaça representa copia visão da realidade.
Teóricas modernos, acha que todo text faz referneicaa outro texto, e a verosemhlança parece com a verdade e da coerência interna para literatura.
Na ques~tao moderna, entender a lógica intenra do texto, captar a verossimlhanaç.
Literatura não fala do mundo ela é autonma em relação ao mundo, autonomia da literatura não é so relacionado ao mundo, não questinou so relação mimética, mas com autor, biografia, didea da liteirautra com expressão, a intenção do autor está por fora, funcionamento autônomo em reala~ço ao autor. Tem funcionamento autônomo em relação sociedade que foi produzido, quando marxista fala assim, mais ingênua, o texto expressa sempre uma posição de classe do autor, se for classe dominante expressa mundo da burguesia e popular inverso, seria um olhar, pensar literatura de forma não autônoma, representa algo fora dele, ele não depende , não representa mundo, não depende da intenção do autor e da sociedade que foi criado.
Conceito de verossemelhnaça, visão da realidade, e a literatura faz referenica a outros textos e nunca ao mundo real. Verossemhlnaça refere a outros texto, segundo a tese modernoa.
Literatura imita a realidade, verossemlehnaça tá no texto de aristoteles, funcionaemtno da ligado a idea de mimese, texto para fazer mimese, elementos do texto para exercer funcoa mimética tem de seguir regra de verosimlança, se mimese é imtiaçao da relaide, verossimelhnaça é semelhança em relação a realidade, sentido natural.
Verossemlehaça em relação sentdo natural, em relação a tese antiga.
Verossemlhança é intertextualidade de outros textos, o process, o objeto da representaão do texto seria outros textos, as ideas de mundo que tenho.
S e agente acha que ir a lua é uma coisa poss´viel no mundo, então a literatura pode falar de ir a lua. Se agente acha que ir a lua é uma coisa impossível, não seria verossimlhnate.
Verominsalnha entre possível o o que´e, sentido natural seria o que é.
Texto tem dificuldade na ques~tao 7, verossemhlança sentido natural, e possível
Verosemhante é semhlante ao que é verdade em relaçã ao otexdot, e doxa, aquilo que achamos que é possível.
Se a gente acha que é possível ir a lua, é verosmelhante pegar fuguete e ir a lua.
Se fosse escrever texto compangon faria diferente, é mais fácil opor verosemelhança lgiada a tese antiga, sentido ao mundo, ao que é, é mais fácil enxegar verossmelhnaça interna.
To pesando em oturo texto, texto sobre perosoangem, para explicar tese moderno verosemhlança, verossimlhçanaça interna, não é semelhança em relão ao que é fora do mundo,
Semelhança em relação a logica que rege o mundi.
Tese antiga ser veroselhante é ser semelhante ao que ahcamos o mundo
Na tese moderna, ser verselmehlante é ser adeuqdao a regra que rege o mundo ficcional.
Se aritsotlees não pensa não em copia da realidade, mas regras internas que vao reger a obra poética, veroselhança é adequação a logica interna do texto.
Muita coisa do texto se clareia, veroselhmante externa e intenra.
Tese moderna é verosemlhante da obra peotica é verossimlhnaça interna.
A gente pega jornal que teses vorzes, parecidaes com a realidade
Se pega texto ficioncioanl, quer ser mnundo seja convinvencet, que aqueles perosnagems se pareceça com realidade. Chapéu do indianos joens não cai.
Não se parece com o mundo , mas faz aquele mundo ficcional ser convincente.
Ai vamos explicar verossemelhnaça como doxa na questão 7.
Verossimlhnaça interna e externa dá para entender com clareza.
Internssate pensar no trabalho que vamos fazer lá para frente, com as narrativas. Vamos fazer com a narrativa captar a lgoica de construção daquele mundo, qual sentido daquela criação que ocara faz, da histoiinha que cara conta e da logica interna e maneira como conta historia, perseuge logica interna do texto.
Questão 5.
Homem aranha, verossemlhnnaça, o texto tem todo conjunto de relaãoa que torna pos´viel, tava passando por um experimento ,tem toda explica~çao detnro do texto que tonra elemento possível dento da logica que rege aquele mundo ficcional.
Relacionado a realidade do texto criar, crai a realidade feita de linguagem, feito de linguagem não tem de obedecer regras do mundo.
Relação para realidade fica para pergunta 9 e 10.
Pegar história do homem aranha e fazer relação com nosso mundo
Que relação possível faz homem arranha, tom e jerry, Ulisses, e inferno de dante com mundo.
Exemplo realista. Rubem Fonseca, romancista brasileiro, chamado sobre assainato de getulio vargas, livro entra na cabeça de gregória. Fala da realidade como gregório pode ter visto, é uma coisa que ele tá imaginando, como se fosse visto do ângulo do gregorio. Livor augusto.

Passagem da tese classicap ar tese moderno, imitação para construção do artefato poética, corresponde do artefato verosemlhancça externa para intenra. Hoje em dia fala que veroselhanaç interna, não como texto imita realidade, mas como texto é convincente, topa jogada do homem aranha, rubem Fonseca..cotnar historai de um ângulo impossível.

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